Il y a 2 ans sortait Plus rien à perdre. Je ne savais pas du tout si ce bouquin allait plaire et encore moins s’il allait être lu.
Après un mois de parution, les ventes ont commencé à décoller allant largement au-delà de mes espérances. Je me rends compte depuis la sortie de 9339 Elsa Street que j’ai eu beaucoup de chance que ce premier roman marche si bien.
Même si les ventes se sont tassées depuis un bon moment maintenant, il continue à être lu par quelques personnes.
En deux ans, Plus rien à perdre cumule 1451 exemplaires vendus (formats papier et numérique confondus) et 524 857 pages lues en emprunt Kindle soit l’équivalent de 2733 exemplaires supplémentaires pour un total de 4184 bouquins.
On est loin, très loin d’un best-seller mais on s’en fout. Pour un écrivaillon de province auto-édité, je trouve ça déjà énorme. Avant la publication, j’espérais en vendre une vingtaine.
Merci à tous ceux qui ont pris le temps de lire ce livre. Merci également à ceux qui m’ont fait part de leurs impressions et leur ressenti. Je remercie même la personne qui m’a mis la première note de 2 étoiles sur Amazon et qui m’a déglingué bien comme il faut dans son commentaire.
Plus rien à perdre, c’est aussi :
– 815 évaluations sur Amazon pour une moyenne de 4,1/5
– 33 notes sur Babelio pour une moyenne de 4,4/5
– une 6e place inespérée au Prix des Mordus de thrillers 2022 (35 romans en lice et un jury de 25 personnes).
Mais le plus important pour moi, c’est que grâce à ce bouquin, j’ai rencontré celle avec qui je partage désormais ma vie (enfin, je la partage avec elle et nos 5 enfants, pour être précis).
